Remontez le temps avec la Nostalgia machine
et retrouvez en un clic les tubes de votre adolescence !
Sélectionnez une année et replongez avec émotion dans vos souvenirs de jeunesse :
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Ce site permet de réécouter les plus grands hits de ces 50 dernières années,
les morceaux fétiches que vous écoutiez en boucle sur votre walkman
ou encore de découvrir des hits bien kitsch aujourd’hui oubliés,
un site pour perdre son temps en musique !
Lucius est un quintet pop New yorkais composé notamment de deux chanteuses. Telles des jumelles fusionnelles elles chantent à l’unisson des pop songs à la langueur folk et aux mélodies accrocheuses.
Sur scène le groupe a développé un aspect visuel fort et saisissant. Les chanteuses adoptent le même look et jouent sur l’effet miroir accentuant ainsi l’harmonie de leurs voix.
Wilde woman est un album réjouissant au doux parfum des sixties composé d’excellents morceaux :
sublimes harmonies vocales, musiques d’une fraicheur insolente, rythmes irrésistibles qui se balladent dans votre tête,
la bande son idéale pour cet été !
Les Jeudis du Port débutent ce jeudi soir à Brest pour 4 soirées musicales et artistiques.
Au programme de ce rendez-vous incontournable : Aldebert, Melissa Laveaux, Le Prince Miiaou, Johny Clegg, La Mal Coiffée… et devinez quoi ? leurs albums sont disponibles à la médiathèque !
Nous avions déjà partagé une vidéo de ce surprenant duo en mai dernier,
2Cellos étaient hier au festival des Vieilles Charrues à Carhaix où ils ont offert au public
une reprise du mythique « Smell like teen spirit » de Nirvana,
Si le combat entre le bien et le mal est la définition d’un polar, alors le lieu idéal de ce combat ne saurait être qu’une église et le meilleur des personnages pour y enquêter un ecclésiastique ;
Voilà pourquoi le récit d’Alexis Ragougneau met en scène un meurtre commis dans la cathédrale Notre Dame de Paris.
Qui a tué cette jeune fille à la robe blanche si courte ?
Bientôt c’est le prêtre de Notre Dame lui-même, persuadé que la police fait fausse route qui reprend l’enquête sans se douter qu’elle le torturera jusque dans sa chair et son âme.
La Madone de Notre Dame multiplie les confrontations entre le légal et le moral, entre la foi et la raison, entre sex shop et lieu de prière. C’est un monde étrange que cette cathédrale, une cour des miracles moderne où chacun joue son rôle, du SDF au ministre en passant par les milliers de visiteurs qui l’arpentent quotidiennement et où on découvre tout le petit peuple qui gravite à l’ombre imposante et tutélaire de la cathédrale.
C’est une intrigue bien maîtrisée et très rythmée de la première à la dernière ligne, sans temps mort que nous propose l’auteur de ce premier roman. A lire sans lâcher.
Nous étions passées à côté de cet album lors de sa sortie l’année dernière (et oui on ne peut pas tout acheter), mais finalement tant mieux car c’est un disque d’été : chaleur, groove, funk, afro-beat!
William Onyeabor a enregistré, presque en ermite, 8 albums de 1977 à 1985 puis il est devenu pasteur et se consacre désormais à cette vocation. Il n’a pas participé à l’élaboration de cette compilation et celle-ci n’a d’ailleurs pas permis d’en savoir vraiment plus sur lui.
Le Nigéria des années 70 était le creuset d’une ébullition musicale, citons Fela et son afro-beat. Mais William Onyeabor se démarque des autres musiciens notamment par l’utilisation de synthétiseurs donnant un son futuriste à ses morceaux, pourtant ces machines étaient rares dans cette partie du monde à cette époque.
Ses longs morceaux afro-funk aux groove marqué laissent place à de larges boucles synthétiques souvent hypnotiques. Ses morceaux n’ont pas pris une ride et s’écoutent en boucle, fort de préférence, pour rentrer dans la danse…
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Médiathèque de Plouzané 